Publication de la Métropole Orthodoxe Roumaine d'Europe Occidentale et Méridionale
Revue de spiritualité et d'information orthodoxe
L’Incarnation du Fils de Dieu, ce « grand mystère de la piété », ce « mystère caché depuis les siècles et inconnu des anges1 »,se renouvelle quotidiennement dans la vie liturgique des chrétiens par la célébration eucharistique. L’Eucharistieétait, est, et sera le cœur de la vie chrétienne. Si,ànotreépoque,la vie eucharistique s’est tellement affaiblie que nous avons perdu presque toute conscience de la réalitéeucharistique et que nous traitons la divine Liturgie dans noséglises comme simplement un rite parmi d’autres, un moleben2 ou un acathiste3 étant considérés presque plus importants, il n’en était pas de même au temps d’une vie d’Église authentique.
L’Eucharistie, dans la conscience des anciens Byzantins et Moscovites jusqu’aux XVe-XVIe siècles, était le fondement et l’accomplissement de toute la vie liturgique. La période qui a suivi a progressivement achevé le processus entamé de désecclésialisation de la vie. Tout ce qui se concentrait autour de l’Eucharistie, comme centre de la vie... Lisez l'article
Le christ et les autres disciples Le Christ reprend sa place à table. Plus aucune allusion ne sera faite à cet échange avec Pierre. Il s’adresse maintenant à l’ensemble de Ses disciples, les interrogeant sur la compréhension de ce qu’Il vient de faire. « Comprenez-vous ce que je viens de faire pour vous ? » Adresse toute rhétorique, puisqu’Il ne marque pas le moindre silence, n’attend pas la moindre réponse, mais enchaîne à partir du bien-fondé de ce qu’eux, les disciples, disent de Lui : « Vous m’appelez „Maître” (didascalos, celui qui enseigne) et Seigneur (Kyrios, celui dont on reconnait l’autorité) et vous dites bien, car je le suis. » Il affirme et confirme cela après S’être dévêtu de Ses propres vêtements et avoir pris une livrée domestique. La kénose, le dépouillement choisi pour le lavement des pieds « n’a donc rien effacé de Son autorité et en est bien plutôt l’expression adéquate »1. Puisque le Christ, Lui à qui les disciples reconnaissent autorité et savoir, n’a pas craint de S’abaisser à leur laver les pieds, à plus forte raison se devront-ils, eux, (et nous, par conséquent !) de se comporter les uns envers les autres conformément à l’exemple qu’Il vient de leur donner : « Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns des autres. C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez, vous aussi comme j’ai fait pour vous. Amen, amen : je vous le dis : un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie. Sachant cela, heureux êtes-vous, si vous le faites.2 ».
Ce serait mésinterpréter le sens de cette péricope que de voir en elle une invitation à une mimétique morale ou comportementale. Il s’agit certes, d’imiter, mais d’imiter quoi ? D’imiter le renversement des valeurs manifesté par le Christ dans le lavement des pieds ; de me laisser pétrir par Lui jusqu’à recevoir la... Lisez l'article
Tout lecteur quelque peu assidu des Évangiles le sait : les péricopes afférentes au repas pascal, à l’institution de l’Eucharistie se trouvent dans les synoptiques (Mt 26, 26-29, Mc 14, 12-25), ainsi que dans 1 Co 11, 23-26. Et le choix de Saint Jean le Théologien de ne point nous transmettre ce même récit, tel que cela l’avait été avant lui, ne peut que nous rendre davantage attentifs – si tant est que l’on puisse n’être pas fascinés par la totalité théologique du Quatrième Évangile ! – à la densité du chapitre 13. Comme toujours, la Tradition de l’Église, la Liturgie par laquelle elle nous enseigne, élève nos regards au plus haut. Le synaxaire du Grand Jeudi n’affirme-t-il pas : « Le saint et grand jeudi, comme nos Pères nous l’on prescrit, selon la tradition reçue des Apôtres divins et des saints Évangiles, nous célébrons les quatre mystères suivants : le Lavement des pieds, la Cène mystique, la Prière suprême du Christ et la Trahison de Judas. » Le chapitre 13 : celui du lavement des pieds, celui de la trahison de Judas, constitue aussi le commencement de la seconde partie du quatrième évangile. Alors que les douze premiers donnent un récit de la révélation du Christ devant le monde, les chapitres 13 à 20 présentent, eux, la révélation de la gloire du Christ devant les Siens.1 Le début du récit nous saisit par la force d’une sorte de prologue : « Avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son Père, Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout. Au cours du repas, alors que le diable a déjà mis dans le cœur de Judas, fils de Simon l’Iscariote, l’intention de le livrer, Jésus sachant que le Père a tout remis entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il s’en va vers Dieu, se lève de table, dépose son vêtement, et prend un linge qu’il se noue à la ceinture ; puis il verse de l’eau dans un bassin. Alors il se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture. »2
Nous n’avons pas affaire à un rituel sacral et purificatoire Ce récit, ce témoignage, se situe, en un sens, aux antipodes des rites sacraux et purificatoires que nous pourrions rencontrer dans le Pentateuque, dans le livre de l’Exode par exemple, lorsque Yahvé donne à Moïse les instructions suivantes : « Tu feras pour les ablutions un bassin de... Lisez l'article
Les Psaumes de David Colonnes de soutien de la prière de l’Église, les psaumes du Roi David nourrissent la piété des fidèles depuis les premières communautés chrétiennes, et ils n’ont pas cessé d’illuminer le chemin d’espérance et de fidélité des cœurs assoiffés de la vérité de l’Évangile du Christ.
Les versets des psaumes sont chantés ou proclamés au cours des offices et l’Église, dans les prokimena, les antiennes et les graduels qui précédent les lectures. Ils sont analogues à des arches de lumière par lesquelles la Tradition aménage l’entrée de notre cœur dans l’intimité de la parole du Verbe, garante de la divine... Lisez l'article
Le Jugement dans l’Évangile de saint Jean et dans la prédication des Apôtres « Sa domination durera toujours, elle ne passera pas, et son royaume ne sera jamais détruit » (Dn. VII, 14c) Dans notre précédent article, nous avons vu que le Seigneur Jésus Christ se sert d’images et de représentations traditionnelles de l’apocalyptique qui étaient bien connues de ses disciples et de ceux qui écoutaient son enseignement, mais pour autant nous avons vu que le but de cet enseignement n’est pas de brosser un tableau des évènements devant advenir au Jour de la Colère de Dieu, contrairement aux récits apocalyptiques. Il y a bien sûr de nombreuses menaces proférées face à cette « génération incrédule », « Serpents, engeance de vipères ! comment pourrez-vous échapper à la condamnation de la géhenne ? » (Mt. XXIII, 33), et ces images et représentations ne relèvent pas de l’imaginaire ou de mythes, tant il est vrai que toute séparation d’avec Dieu relève de l’enfer, dans ce monde et dans l’autre, car dans ce cas la Lumière bienfaisante de Dieu se fait feu, brûlure et châtiment.
Ces images et ces paraboles renvoient à une réalité, car au Jour de la Colère se révèlera le juste Jugement de Dieu « Par ton endurcissement et l’impénitence de ton cœur, tu amasses contre toi un trésor de colère, au jour de la colère où se révèlera le juste jugement de Dieu » (Rm. II, 5) et il sera... Lisez l'article
La fin Ces trois jours, que l’Église appelle grands et saints, ont, à l’intérieur du déroulement liturgique de la Sainte Semaine, un but bien défini. Ils en situent les célébrations dans la perspective de la Fin, ils nous rappellent le sens eschatologique de Pâques. Bien souvent la Sainte Semaine est considérée comme une “belle tradition”, une “coutume”, une date importante du calendrier.
C’est l’événement annuel attendu et aimé, la Fête “observée” depuis l’enfance, pendant laquelle on s’enchante de la beauté des offices, du faste des rites, et où l’on s’affaire à préparer le repas pascal, qui n’est pas de moindre importance... Puis une fois tout cela accompli, nous reprenons la vie normale.... Lisez l'article
« Vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, pour proclamer les louanges de Celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière… » (I Pi. II, 9). L’Église n’est pas une institution, un service parmi d’autres qu’offre la société des hommes de ce monde déchu, mais prophétie du Royaume qui vient. Elle est vie nouvelle en Christ,Corps du Christ, famille de Dieu et nous allons voir comment les livres du Nouveau Testament et particulièrement les épîtres de l’Apôtre des Nations, rendent compte de cette réalité divino-humaine qu’est l’Église.
Fondée par le Christ Seigneur, par la descente du Saint Esprit au jour de la Pentecôte, Esprit qui descend sur les Apôtres assemblés et personnellement sur chacun d’entre eux « Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvaient tous ensemble dans un même lieu, quand, tout à coup, vint du ciel un bruit tel que celui d’un violent coup de... Lisez l'article
« Dieu, en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par le Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses, par qui aussi il a fait les siècles » (Hb. I, 2.) « Venez, réjouissons-nous dans le Seigneur en exposant le mystère de ce jour : le mur de séparation est renversé ; le glaive flamboyant est déposé, les Chérubins ne gardent plus l’arbre de vie, et moi je participe aux délices du Paradis dont la désobéissance m’avait exclu, car l’Icône immuable du Père divin, l’empreinte de son éternité, prend forme d’esclave en naissant d’une Mère vierge, sans subir de changement, et le Dieu véritable demeure ce qu’il était, assumant ce qui lui était étranger, par amour des hommes, l’humanité ; aussi chantons à notre Dieu : Toi qui es né de la Vierge, aie pitié de nous » (Stichère du Lucernaire des Vêpres du 25 décembre. Ménée de décembre).
Ce premier stichère de l’office des Vêpres du 25 décembre résume bien le grand mystère de l’Incarnation, profond mystère que proclame le saint Apôtre Paul dans la première épître à Timothée en déclarant : « Grand est le mystère de la piété : Dieu est apparu dans la chair !... Lisez l'article
La fête la plus ancienne et la plus importante de toutes est sans aucun doute la Résurrection de notre Seigneur ! Dès l’époque de l’Église Primitive les chrétiens ont eu la conscience de la fête Pascale et ils ont établi une période de préparation convenable, une période d’intense repentir, pendant laquelle ils puissent s’approprier la Passion du Seigneur, et mourir avec Lui pour pouvoir ensuite ressusciter avec Lui du tombeau du péché !
Cette période de préparation pour la fête de la Résurrection dure dix semaines et porte le nom de période du Triode. Étymologiquement, le mot triode provient du grec ΤΡΙΩΔΙΟΝ, formé des mots τρία et ώδή, à savoir trois odes ou chants en trois strophes. Dans un sens plus large, dans la vie... Lisez l'article
« Vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu le Christ » (Ga. III, 27). Au sixième jour du mois de janvier, l’Église orthodoxe célèbre la Théophanie, manifestation de la Très sainte Trinité au baptême du Christ dans les eaux du Jourdain par le dernier des prophètes de l’Ancien Testament, le Précurseur et Baptiste Jean. Au terme de sa vie cachée qui dura trente ans, long temps de préparation à l’accomplissement du dessein de Dieu en faveur du salut des hommes, Jésus, se soumettant à la volonté du Père céleste vient vers le Baptiste, lui qui proclamait dans le désert de Judée : « Convertissez-vous-μετανοεῑτε-, le Règne des cieux s’est approché » (Mt. III, 2), pour y recevoir le baptême de repentance. « Alors paraît Jésus venu de Galilée jusqu’au Jourdain auprès de Jean, pour se faire baptiser par lui » (Mt. III, 13). Celui qui est sans péché, s’avance humblement au milieu d’une foule nombreuse de pécheurs qui confessent leurs fautes, pour recevoir le baptême de Jean signifiant par là qu’il prend sur lui les péchés des hommes, qu’il les assume. Cette venue suscite étonnement et protestation du Précurseur : « C’est moi qui ai besoin d’être baptisé par toi et c’est toi qui viens à moi ! » (Mt. III, 14).
Le Lucernaire des Vêpres du 6 janvier rend bien compte de « l’étrangeté » de cette situation et de la profondeur du mystère qui se manifeste devant le témoin oculaire : « C’est un serviteur qui baptise le Rédempteur et par sa présence l’Esprit lui rend témoignage ; ce que voyant, les armées... Lisez l'article
La Nativité de notre Seigneur et Dieu Jésus Christ à Bethléem de Juda, cité du roi David, est la manifestation d’un très grand mystère, celui du Dieu d’avant les siècles, le Logos, le Verbe qui est dans le sein du Père de toute éternité et qui devient homme, pleinement homme, sans que sa divinité ne subisse ni changement ni altération. Ce mystère est ineffable et dépasse l’entendement humain. « Dans le Principe était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu »1. Ces paroles d’une profondeur inouïe et qui ouvrent l’Évangile de l’Aigle de Patmos nous introduisent dans la Révélation du mystère trinitaire qui est au cœur de la foi chrétienne : Dieu est unique mais Il n’est pas seul, Il est communion d’amour de trois hypostases, le Père, le Fils et le Saint Esprit, dont le Père est la Source. Dans son « Homélie sur le Prologue de Jean », Jean Scot Érigène, moine irlandais né dans le premier quart du IXe siècle et qui fut traducteur de saint Maxime le Confesseur, nous dit, à propos de ces paroles ineffables : « Saint Jean le Théologien, non seulement s’élève au-dessus de ce qui peut être saisi par l’intelligence et signifié par la parole, mais est transporté au cœur même des réalités qui surpassent toute intelligence et toute signification. C’est ainsi que, par le vol ineffable de l’esprit, il est emporté, au-delà de toutes choses et, que, percevant clairement l’unité suressentielle et la distinction supra-substantielle du Principe et du Verbe, c’est-à-dire du Père et du Fils – l’une et l’autre incompréhensibles – il commence son évangile par ces mots : Dans le Principe était le Verbe »2.
Nous savons, là aussi par saint Jean, que Dieu est amour et que la Création est un acte d’amour de la divine Trinité présente dans l’acte de création du monde, puisque dès les premiers versets de la Genèse nous voyons Dieu le Père, le Logos et l’Esprit qui sont à l’œuvre. Cette création n’obéit pas à... Lisez l'article
« Garde le beau dépôt, par l’Esprit Saint qui habite en nous » (II Tim. I, 14) Il ressort de tout ce que nous avons vu dans la première partie de cet article, que le dépôt de la foi est d’origine divine. L’Église qui reçoit ce dépôt sacré, depuis les saints Apôtres du Seigneur, transmis à leurs successeurs les évêques et à toutes les générations de fidèles du Christ, n’en n’est pas la propriétaire mais l’intendante. Saint Paul le dit très clairement lorsqu’il parle de la « doctrine de Dieu, notre Sauveur » (Tt. II, 10), c’est-à-dire de « notre grand Dieu et Sauveur le Christ Jésus » (Tt. II, 13). Le Seigneur est au centre de ce saint dépôt, Il en est l’auteur et tout converge vers Lui comme Verbe éternel de Dieu fait homme pour le salut du genre humain et pour nous, chrétiens orthodoxes, il n’y a pas de parole salutaire en dehors de la sienne, car la prédication du Seigneur n’est pas un enseignement et une action humaine, mais une Présence agissante de la grâce divine. C’est pourquoi, saint Paul dit à son fils spirituel Timothée « Je te le prescris devant Dieu qui donne la vie à toutes choses, et devant le Christ Jésus qui a rendu son beau témoignage sous Ponce Pilate : garde le commandement sans tache et sans reproche jusqu’à l’avènement de notre Seigneur Jésus Christ… » (I Tim. VI, 13).
L’enseignement divin de l’unique Médiateur entre Dieu et les hommes (I Tim. II, 5), saint Paul l’a reçu par une révélation directe du Christ et il a été fait Apôtre des nations pour le transmettre à tous : « Tel est le témoignage rendu aux temps marqués, et pour lequel j’ai été, moi, institué... Lisez l'article
par l’Archimandrite Basile du Monastère d’Iviron1 Tu n’es pas isolé ni séparé des autres hommes et du reste du monde. Tu n’es pas enfermé dans la prison de l’espace. Tu n’es pas asphyxié par la condamnation du temps. Ta vie n’est pas un verre d’eau qui si tu le bois te laisse aussi assoiffé qu’avant, et si tu ne le bois pas va croupir devant tes yeux. Tu n’es pas une partie mécanique d’un tout sans fin, ni un individu dans une foule anonyme. Le Maitre de la vie a brisé les serrures de l’existence mécanique.
Tu es un membre organique d’un mystère théantropique. Tu as un service concret, petit, infime, par lequel tu communies avec le tout. Dans ton être, dans ton caractère, est récapitulé et agit le mystère de la vie. Tu es image de Dieu. Tu ne vaux pas par ce que tu as, mais par ce que tu es. Tu es frère de Dieu. Nous entrons tous ainsi dans la fête des... Lisez l'article
« Garde le beau dépôt, par l’Esprit Saint qui habite en nous » (II Tim. I, 14) C’est ce thème fondamental de la garde du dépôt de la foi, selon les instructions et les exhortations du saint Apôtre Paul, à son fils spirituel bien-aimé dans le Seigneur, « Je vous ai envoyé Timothée, mon enfant bien-aimé dans le Seigneur » (I Cor. IV, 17), qui fait l’objet de cet article. Timothée dont le nom signifie « Celui qui honore Dieu », lui qui fut éduqué dans la foi par sa mère, juive devenue fervente chrétienne, et instruit dès son plus jeune âge dans les saintes Écritures, fut l’infatigable compagnon de saint Paul, dans ses voyages missionnaires : « Timothée, notre frère, le collaborateur de Dieu dans la prédication de l’Évangile du Christ » (I Thess. III, 2b) Il nous est bien connu par le Livre des « Actes des Apôtres » et les épîtres de saint Paul. Nous savons qu’il a œuvré avec l’Apôtre des nations à la fondation des Églises de Philippes, de Thessalonique, Bérée, Corinthe et Éphèse et son rôle dans la naissance et le développement des Églises de Macédoine, aux côtés de saint Paul, fut éminent.
Nous avions déjà évoqué cette haute figure du fils spirituel de l’Apôtre, dans un article consacré à l’enseignement de saint Paul aux Thessaloniciens, ici même, dans cette revue « Apostolia » et il n’est pas nécessaire d’entrer plus avant dans la biographie de Timothée, selon les indications que nous donnent... Lisez l'article
Pierre et Jean parlaient encore au peuple quand survinrent les prêtres, le commandant du Temple et les Sadducéens, contrariés de les voir enseigner le peuple et annoncer en la personne de Jésus la résurrection des morts. Ils mirent la main sur eux et les emprisonnèrent jusqu’au lendemain, car déjà le soir tombait. Cependant beaucoup de ceux qui avaient entendu... Lisez l'article
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