Publication de la Métropole Orthodoxe Roumaine d'Europe Occidentale et Méridionale
Revue de spiritualité et d'information orthodoxe
Pour la fête des 8- 9 septembre Originellement, l’icône de Sainte Anne et de la Mère de Dieu âgée de 12 ans, se trouvait à Smyrne. Pendant le désastre de 1922 en Asie mineure, les Turcs mirent le feu à Smyrne pour bannir les Grecs qui y formaient la majeure partie de la population, incluant la Cathédrale de Sainte Photini sur la place de la cité, où était cette icône de Sainte Anne et de la Mère de Dieu. L’icône fut sauvée du feu par un fidèle chrétien.
Saint Chrysostome, Métropolite de Smyrne à l’époque – qui fut mis en pièces et assassiné par la foule turque – avait l’habitude d’amener les couples sans enfants devant cette icône. Il leur demandait de jeûner quarante jours, de dire des prières à Sainte Anne, et à la fin des quarante jours, de communier à la Divine... Lisez l'article
Jour de fête: 9 novembre L'icône de la Mère de Dieu appelée « Prompt Secours » (Skoroposlouchnitsa) est une ancienne image miraculeuse du monastère de Dochiariou, sur la sainte montagne de l'Athos. D'après la tradition monastique, elle fut peinte au Xè siècle, alors que saint Neophytos était supérieur du monastère.
Une nuit, en 1664, Nil, serviteur au réfectoire, passa à côté avec une torche allumée. De l'icône de la Théotokos qui était accrochée au-dessus de la porte, il entendit une voix lui demander de ne plus passer ainsi et souiller l'icône avec la suie. Pensant que c'était une blague qu'un des frères lui jouait, le moine ne... Lisez l'article
Ce texte a été écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, rédigé par la moniale Sofia.
Elle est apparue en 1579. Vladimir Lossky explique dans l’ouvrage « Le sens des icônes » la chose suivante : « Lorsque l’on parle de l’apparition d’une icône, ce terme fréquent dans les anciennes chroniques et hagiographies russes, signifie qu’une icône, jusque-là inconnue, est reconnue, en raison d’un... Lisez l'article
Ce texte, pour la partie historico-hagiographique – s’appuie davantage sur le petit livret des Sœurs de Minsk sur les Icônes de la Mère de Dieu que sur le Synaxaire russe de S.V. Boulgakov et le Calendrier du Patriarcat de Moscou.
L’icône de la Mère de Dieu d’Igor est liée au saint digne prince Igor de Kiev. Le prince Igor est vénéré comme un « strastoterpets ». Il s’agit d’une catégorie de saints particulière à l’hagiographie russe. Ce sont des « justes » qui ont souffert innocemment. Le mot... Lisez l'article
Ce texte est écrit par la moniale Sofia, principalement, à partir d’un livret consacré au monastère de Serpoukhov, publié en russe par les Éditions de la Laure de la Trinité-Saint-Serge, en 2001.
Le récit de la glorification de cette icône miraculeuse au nom « mystérieux », qui ne se trouve que depuis peu dans le calendrier du Patriarcat de Moscou, a été écrit en 1912, dans le monastère où l’icône a été glorifiée. Il s’agit du monastère de l’Entrée au Temple de la Mère de... Lisez l'article
Texte écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, moniale Sofia. Distributeur : Librairie des Éditions l’Âge d’Homme à Paris. Cette icône est peu connue, mais elle est fondamentale dans l’histoire de l’Église russe et dans l’art ecclésial russe. Il y a peu d’icônes de la Mère de Dieu fêtées en ce mois de Grand Carême. Cette icône souligne un autre aspect du rôle de la Mère de Dieu au travers de ses icônes, rôle qu’il nous a semblé intéressant de présenter.
L’icône a été peinte en 1299, à la suite d’une vision de cette icône par le saint métropolite Maxime1. La Mère de Dieu est représentée dessus en pied. Le saint métropolite Maxime – qui porte une longue barbe – est dessiné en train de recevoir des mains de la Vierge l’omophore2, tandis que l’Enfant Jésus... Lisez l'article
Le terme grec est « Galactotrophoussa » ; en slavon, on utilise le qualificatif « Mliékopitatiel’nitsa ». Bien que ce type d’icônes soit rare à cause, disent certains auteurs, « du contraste avec le hiératisme solennel des icônes byzantines », on en parle souvent dans les livres spécialisés. En langue française on trouve également les traductions suivantes : « Qui nourrit au sein » et « Nourricière ».
Les premières images de la Mère de Dieu « Qui allaite » sont d’origine palestinienne et copte1 L’icône la plus ancienne se trouvait dans la Laure de Saint Sava le Sanctifié, à dix-huit kilomètres de Jérusalem. Le saint fondateur de l’unique laure orientale prédit, au moment de sa mort, aux frères du monastère,... Lisez l'article
Ce texte a été écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, rédigé par la moniale Sofia. Distributeur : Librairie des éditions de l’Age d’Homme - Paris 6e.
En 1301, une icône de la Mère de Dieu flotta miraculeusement sur l’eau non loin d’un endroit de la rivière Desna où il y avait un tourbillon. Il arrivait fréquemment que de grosses péniches soient détruites. Cet endroit se trouvait en face d’une montagne près du village de Lenkovo à 8 kilomètres de Novgorod-Séversk, dans la... Lisez l'article
Ce texte a été écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, rédigé par la moniale Sofia. Distributeur : Librairie des éditions de l’Age d’Homme - Paris 6e. L’icône de la Mère de Dieu du Signe fut glorifiée en Russie au XIIe siècle. En 1170, les armées du saint et digne prince André Bogolioubsky (+ 1174, fêté le 4 juillet), (une alliance entre soixante-douze princes), conduites par son fils Mstislav, prince de Souzdal, viennent assiéger Novgorod dont ils espèrent la soumission. Les négociations furent infructueuses. Les Novgorodiens ne pouvaient plus espérer qu’en la miséricorde de Dieu. Jour et nuit, ils priaient et faisaient pénitence pour leurs péchés ; les cantiques d’église étaient mêlés de larmes. Les assiégeants décidèrent de prendre d’assaut la ville. Le saint hiérarque Jean, archevêque de Novgorod (+ 1186, fêté le 7 septembre), pria durant trois jours et trois nuits, sans interruption, dans le sanctuaire de la cathédrale Sainte-Sophie. La troisième nuit, durant la prière devant l’icône du Sauveur très Miséricordieux, il sentit soudain une sainte palpitation et entendit une voix : « Rends-toi à l’église de notre Seigneur Jésus-Christ, rue du prophète Élie, prends l’icône de la Très Sainte Mère de Dieu qui se trouve dans cette église, dépose-la sur le mur de la ville et tu assisteras alors au salut de la ville ». Une paix merveilleuse combla le cœur du saint hiérarque.
Le matin du 25 février, l’archevêque envoya des clercs de la cathédrale Sainte Sophie de Novgorod chercher l’icône. On ne put pas la bouger de l’endroit où elle se trouvait. L’archevêque se rendit lui-même solennellement, dans une procession de la Croix, dans l’église du Sauveur. Il s’agenouilla, pria et pleura devant... Lisez l'article
Sur le bord de la route, en dessous du monastère de Bisericani, il y a une petite église récente, en pierre, dans laquelle se trouvent une petite icône miraculeuse et un morceau de tronc de chêne qui attirent de nombreux pèlerins. L’église est fêtée le 1er octobre, jour de la fête de la Protection de la Mère de Dieu, à laquelle elle est dédiée. Bâtie en 1998, elle fut consacrée le 3 octobre 1999, pour les 500 ans de l’Apparition de la Mère de Dieu à un groupe d’ascètes conduits par leur père spirituel, saint Joseph de Bisericani.
Bisericani est en Roumanie, dans le département de Neamţ, en Moldavie. Saint Joseph naquit dans le département de Neamţ. Dès son enfance, il fut attiré par la vie monastique ; aussi dès qu’il perdit ses parents, il devint moine dans le monastère de Bistriţa qui avait été construit par Alexandre le Bon. Ayant étudié les vies des... Lisez l'article
Texte écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, moniale Sofia. Distributeur : Librairie des Éditions l’Âge d’Homme à Paris.
L’histoire de cette icône miraculeuse de la Mère de Dieu est étroitement liée au monastère en l’honneur de la Dormition de la Sainte Vierge à Potchaïev, en Ukraine, à 360 km à l’ouest de Kiev. La laure fut fondée à la fin du IXème siècle par quelques disciples de saint Méthode (+895) qui... Lisez l'article
Texte écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, moniale Sofia. Distributeur : Librairie des Éditions l’Âge d’Homme à Paris. En été 1383, sous le règne du grand prince Dimitri Ioannovitch, tandis que Monseigneur Pimène était métropolite de toute la Russie et Monseigneur Alexis, archevêque de Novgorod, une icône de la Mère de Dieu apparut en Russie. Texte écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, moniale Sofia. Distributeur : Librairie des Éditions l’Âge d’Homme à Paris.
L’apparition survint de la façon suivante : non loin de Novgorod et de la mer des Varègues (la Baltique), dans les eaux du grand lac Neva (le lac Ladoga), des pêcheurs travaillaient. Un rayon éclatant, venant du ciel, brilla soudain sur eux. Levant leur regard, ils aperçurent une icône de la Mère de Dieu, aussi lumineuse que le soleil, qui circulait au-dessus des... Lisez l'article
D’après la tradition, l’icône de la Mère de Dieu de Vladimir fut une des trois icônes peintes par le saint apôtre et évangéliste Luc tandis que la Mère de Dieu était encore de ce monde. Elle fut peinte sur une planche de la table sur laquelle le Seigneur Jésus-Christ, Sa très Pure Mère et le juste Joseph, le Fiancé, prenaient leurs repas.
C’est en regardant les trois icônes que la Toute Sainte répéta la parole prophétique dite à la juste Elisabeth : « Désormais toutes les générations me diront bienheureuse « (Luc 1, 48). Elle ajouta : « Que la grâce de Celui qui a été enfanté en moi et que ma grâce soient avec ces... Lisez l'article
Ce texte a été écrit d’après l’ouvrage « Les Fêtes et les Icônes de la Mère de Dieu dans l’Église Russe », 1999, rédigé par la moniale Sofia. Distributeur : Librairie des éditions de l’Age d’Homme – Paris 6e. Amplement complété par des extraits de l’ouvrage du Musée du Louvre sur la Sainte Russie qui date de mars 2010.
L’icône est peinte d’après les cantiques dédiés à la Mère de Dieu, en particulier les hymnes de Georges de Pisidie sur l’Annonciation (VIIe siècle), celle du patriarche de Constantinople Isidore (+ en 1350) sur la Dormition, ainsi que les canons de Joseph l’Hymnographe (IXe siècle). La Mère de Dieu y est désignée par... Lisez l'article
« Annonce, terre, une Grande Joie ! » Le lieu :L’île de Tinos est une île grecque joyeuse, paisible et toute blanche. C’est l’île de la Mère de Dieu. La Mère de Dieu vit vraiment sur cette île, au travers de cette icône. Sa Présence est très grande. L’Ancien Païssios de la Sainte Montagne est allé une fois en pèlerinage à Tinos. Il a confié plus tard à un de ses amis : « Je ne te dirai qu’une seule chose et tu comprendras : l’icône de la Toute Sainte est pleine de vie ».
Les bateaux sont en mouvement dans le port : ils amènent sans cesse les pèlerins venus de plusieurs endroits de Grèce et de l’étranger. Nombreux sont ceux qui viennent demander à la Mère de Dieu quelque chose. Ils viennent déposer un vœu. Le sanctuaire est en haut de la montée, tout blanc. Des milliers de pèlerins traversent les rues et les... Lisez l'article
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