Les mots que nous utilisons pour nous juger nous-mêmes vont nourrir notre « moi » blessé et enrichir notre « histoire ». Par le travail sur soi et le jugement de soi-même, nous assumons une responsabilité douloureuse et nous prenons conscience que la simple offrande de votre vécu et la confiance sans révolte nous ouvrent les portes de la miséricorde du Seigneur.

Quand tu rencontres dans ton cœur la petitesse et la méchanceté, accepte et demande au Seigneur la guérison, la miséricorde, la charité et la patience. Et ne sois pas étonné d’être ce que tu vois de toi parce que tu n’as pas encore la moindre idée de ce que tu peux être ou devenir. Tu oublies et tu ne te rends pas compte que nous ne dépendons que de la miséricorde du Seigneur. En pensant que nos talents (nos dons) ne viennent que de nous, nous risquons de les perdre.